Vu qu'on est dans le jeu de mots, mais que ça n'empêche pas d'être précis sur les termes, je suis interpellé par le fait que la Highway Patrol ne soit pas intervenue quant à l'apologie (terme justifié, pour le coup) de la violence faite dans mon post, puisque les posts de réponse à ma tribune se situent au même niveau de lecture, question dérision (étant vraiment grippé, chaque déglutition est un supplice et je puis vous assurer que l'idée même de fumer -légal ou toléré, car au passage, dans mon pays, c'est toléré- m'est insupportable...)
Je n'ai pas l'impression que dans les réponses apportées à ma chronique, d'aucun des susnommés n'aient fait de "plaidoyer" ou encore d'"éloge" (synonymes du mot apologie) cannabique, quant au domaine public, il fût lui aussi respecté, car je crois que les illustrations postées par nos deux zouaves ( c'est raciste de dire zouave comme ça ?) étaient belles et bien tirées de la toile et non de leurs archives personnelles.
Je pense à titre personnel qu'il est hypocrite de nous vanter ici d'une morale (je parle au nom de tous) si sous couvert d'une apparence totale, elle serait en fait partiale et plus tolérante de ces fléaux légaux qui abreuvent les caisses des ministères sans que personne n'y trouve à redire, ou encore de la violence physique ("oui mais le : "pas taper Daru" de Franquin, euh, c'est pour rire..." Ah bon?)...
J'espère bien que ce post appellera plus de réponses encore, ou du moins la visite du badaud qui sent l'animation, car sous couvert de la défense de l'objectivité et du droit d'expression, je profite pour finir sans transition par un message qui me semble tout aussi important que la polémique en amont:
Je ne suis pas sûr de venir à SoWAT III, pourtant je tiens à m'impliquer dans sa préparation, à mon petit niveau personnel ... Je sais que même si je n'ai aucune visibilité sur mon emploi du temps de ce moment, et que les vacances ne sont pas faites pour les indépendants, je donnerai cher pour y être, ne fût-ce que pour 24 heures tant au même titre que Noël ou 14 juillet, c'est devenu un incontournable de mon calendrier...
Alors toi, (oui je vais terminer sur le même ton que sur celui où j'ai commencé dans ma proselémique) oui, toi, le badaud, la nouvelle ou toi, que je reconnais au loin, l'habitué, l'irréductible, joignez-vous à moi dans un soutien tardif mais néanmoins bienvenu, de cette manifestation amicale, qui déchire franchement sa mère à l'autre con là (ben oui, quitte à suggérer la censure, autant que le doute l'habite, hein ?!)
Prenez avec moi ce wagon qui suit de près celui d'Arnaud qui a mis du charbon dans un poêle dont il n'est même pas sûr qu'il lui chauffera les arpions !
Allez, quoi, merde... En auriez-vous trop plein les yeux pour vous cloîtrer dans la certitude que ça ne vous fera rien : manquer de manger comme au nouvel an pendant une semaine ? (Pour ceux qui ont eu la chance de participer à un repas de gourmet) De vous faire plaisir en convoi, mode talkie-walkie, dans des ballades qui tiennent plus du rallye d'orientation que de la file de mariage ? De chouiller un max jusqu'à plus soif ? Ou encore de profiter du calme d'un putain (oui, y'en a marre de vos consensuels Lutains, l'heure est grave, pas le temps d'être subtil, moi...) D'un putain, disais-je, de paradis naturel ET privatisé ? Et là où c'est fort, c'est qu'on n'est pas en voyage organisé, bien que la logistique n'y ait rien à envier, et que vous pouvez (devez) même en faire votre propre synthèse, de toutes ces possibilités, pour en faire un séjour unique, au goût de trop peu, au parfum de trop court...
Allez on se bouge le cul un peu, les gros, ou je commence vraiment à être vulgaire ! ...